• Recherche,
  • Sciences de l'ingénieur,
  • Sciences Technologies Santé,
  • Sciences de la vie santé et environnement,
  • International,

NeuroDeRisk

De-Risk Neurotoxicity in Preclinical Drug Discovery

Publié le 3 avril 2019 Mis à jour le 10 mars 2023

Recherche sur l'amélioration de la prédiction préclinique des effets indésirables des produits pharmaceutiques

 Le Responsable scientifique

David BALAYSSAC, enseignant-chercheur à NEURO-DOL et praticien hospitalier.

Vincent BARRA et Engelbert MEPHU NGUIFO, du Laboratoire d'informatique, de modélisation et d'optimisation des systèmes (LIMOS) sont également impliqués dans ce projet.


Le résumé

Le projet NeuroDeRisk est coordonné par l'Université de Vienne en Autriche et par les laboratoires SANOFI. Il regroupe 18 institutions de 12 pays européens différents dont 7 industriels parmi lesquels Astrazeneca, Novartis Pharma, Pfizer ou encore MSD.

Il est financé par le programme IMI2 "Innovative Medecines Initiative" qui est un partenariat public-privé de l'UE qui finance des projets de recherche dans le domaine des Sciences de la Vie devant répondre aux besoins des industriels des produits de santé.

Le but de NeuroDeRisk est de fournir de nouveaux outils intégrés pour améliorer la prédictibilité préclinique des effets indésirables sur le système nerveux  (effets pro-convulsivants, troubles psychiatriques/psychologiques et neuropathies périphériques) des produits pharmaceutiques et ainsi aider à réduire le risque de découverte de nouveaux médicaments à risques.

Les chiffres clés

Durée : 3 ans et demi (Mars 2019 à Août 2022)

Budget alloué à l'UCA : 429 400 €



Ce projet bénéficie d'un financement de l'entreprise commune (Joint Undertaking JU) pour l'initiative en matière de médicaments innovants 2 IMI2 dans le cadre de la
convention de subvention n° 821528.
L'entreprise commune reçoit le soutien de l'Union européenne dans le cadre du programme de recherche et d'innovation Horizon 2020 et de l'EFPIA.

Cette publication n'engage que son auteur et la Commission européenne n'est pas responsable de l'usage qui pourrait être fait des informations qui y sont contenues.